voila, je pose un ptit texte, c'est mon dernier, j'lai record vite fait, je le ferais tourner si vous voulez
Entre la vie et la mort, il y a du terrain
J’vais pas t’en vouloir pour tes actes adultérins
T’adules tes reins, faut bien assurer une progéniture
Si bien que dans le système on t’appelle le pro-géniteur
Tu fais des gosses par douzaines, avec des femmes différentes
Puis les lâches indignement, mais tu kiffe tes rentes
Tu vis des allocations versées, de paternité
Mais un jour on t’retrouvera, parterre niqué !
Parait qu'quitter, pour toi, est une chose banale
Et par équité, briser une famille fait pas d'mal
On appelle ça être polygame, y’as pas d’autre adjectif
Tu tape sur ta go, y’a plus aucun signe affectif
Et noie ton chagrin dans l’alcool, accro à cette tise
Vicieux comme un hooligan, qui frappe et aseptise
Des comme toi, ça m’exaspère, j’connais assez d’types
Qui pensent qu’un As-paire, per-met, d’aspirer d’l’acétique
Trouve toi un taffe, et compte pas trop sur les Assedic
C’est pas l’Etat, ni les tas d’pigeon, qui t’fileront assez d’fric
Subvenir à tes besoins, ou tout simplement survivre
Dans cette jungle qu’est la vie, nous ne sommes que sous-fifres
Tu t’éttouffe , t’as tout fait, pour réussir mais nan
Une famille laissée et une sale vie menant
A une catastrophe inévitable, une mort prématurée
Aucun cas profitable, remords dénaturés
Tu cours à ta perte, la porte de l’enfer est ouverte
Ton fascies, blême, bref ta face est toute verte
Esprit phallocrate, misogynie et sexisme
Le phallus gratte, l’eugénisme s’explique
Pour toi les aryens représentent les tas d’mâles
Passer d’une chambre de bonne aux suites du Tadj Mahal
Vas réviser tes classiques, les femmes sont aussi forte
Machos et compagnie, ni accouchent, ni avortent !
Entre la vie et la mort, il y a du terrain
J’vais pas t’en vouloir pour tes actes adultérins
T’adules tes reins, faut bien assurer une progéniture
Si bien que dans le système on t’appelle le pro-géniteur
Tu fais des gosses par douzaines, avec des femmes différentes
Puis les lâches indignement, mais tu kiffe tes rentes
Tu vis des allocations versées, de paternité
Mais un jour on t’retrouvera, parterre niqué !
voila, dites sque vous en penser